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Un centre-ville, ça s’entretient… ou ça meurt

Par Philippe Leclerc À Saint-Jérôme, dès que le soleil se couche, le centre-ville devient inquiétant. Trop sombre. Trop vide. Une cliente a confié qu’elle n’ose plus marcher seule entre la Place de la Gare et la rue Labelle. Une autre, qu’elle préfère magasiner à Mirabel : mieux éclairé, plus simple, moins de risques de contravention. Ce n’est pas un cas isolé. C’est un écho constant dans les commerces du cœur jérômien. Pas dans les documents…