Comment réduire l’impact négatif des toxines environnementales sur notre santé
Pour faire suite et conclure le sujet de la détoxification nous allons voir de quelle façon nous pouvons prévenir et neutraliser en partie l’impact des toxines environnementales sur notre santé.
Comme vous le savez, la promotion négative sur notre industrie et les fameuses détox prend toute une place dans les médias qui traitent de santé. Ce genre de désinformation négative conduit à une confusion du public.
Les xénobiotiques, toxines originaires de la pollution de l’extérieur du corps, sont responsables de maladies dégénératives chroniques, de dysfonctionnements immunitaires, d’hypersensibilité environnementales, de troubles endocriniens et, comme le déclare l’OMS, un quart des maladies prennent leurs origines dans la pollution qui affecte le corps et notre santé.
Qui ne connait quelqu’un pour qui aucun traitement ne fonctionne, qui n’a entendu parler de malades dont le protocole infaillible se retrouve à l’état d’échec et pourquoi, quelle en est la raison? Bien souvent, c’est tout simplement l’intoxication!
Les récepteurs cellulaires et médiateurs sont occupés par des toxines qui empêchent le fonctionnement adéquat du métabolisme des humains.
L’inhalation de micro et nano particules, issues de l’industrialisation et de la combustion des biomasses, provoque un stress oxydatif suivi d’une réaction inflammatoire chronique qui finit par affecter le système relié à l’immunité qui permet la destruction et l’élimination des toxines.
Le foie, le système lymphatique, la moelle osseuse et la rate font partie de ce système.
C’est par les poumons que se fait l’entrée des micros particules toxiques qui affectent les organes et tous les systèmes, le benzène pour la moelle osseuse, le carbone pour le cœur et le système nerveux et le mercure pour les reins et aussi pour le système nerveux.
Nous réalisons que nous sommes intoxiqués quand les effets nocifs suivant l’exposition à des substances chimiques se font sentir.
L’absorption, la distribution et la force des toxines a un impact diffèrent selon la sensibilité de chaque personne, selon son état de santé général et selon si cette personne est sous médication.
Il faut donc tenir compte que l’absorption et la distribution des toxines dans le corps sont influencées par les propriétés des toxines et par les barrières qu’elles traversent.
La sévérité et la réversibilité de la toxicité dépend de la dose, de la concentration, de la durée de contact et de la puissance toxinique.
La plupart du temps, nous voyons des cas d’intoxication se produisant sur de longues périodes et qui produisent des troubles divers, sans lien précis avec une cause directe d’intoxication contrairement aux phénomènes toxicologiques aigus rencontrés en médecine, tels que les empoisonnements.
Nos pires ennemis sont les métaux lourds. Il faut cependant se souvenir que certains minéraux sont indispensables au bon fonctionnement du corps humain, mais en dose de traces seulement un dosage trop élevé les rendra toxiques.
Il s’agit ici du cuivre, du sélénium, du chrome, du vanadium et du cobalt.
Les métaux lourds proviennent des vapeurs des amalgames dentaires, des pesticides, insecticides, fongicides, la peinture, les cigarettes, les électroménagers, l’essence, les aliments industriels, les plats préparés, les additifs alimentaires, le papier d’aluminium, les antisudorifiques, l’aspirine et autres médicaments à grand usage en plus des cosmétiques.
En conclusion : en général, le corps se draine lui-même suffisamment bien, toutefois l’exposition aux toxines qui envahissent notre environnement et nous-même empêche la capacité du corps à se nettoyer normalement, c’est la raison pour laquelle il ne faut pas négliger la traditionnelle détox deux fois par année, au printemps et à l’automne.
Coup de coeur
L’homéopathie
Il y a déjà plusieurs années que l’homéopathie s’est intéressée au rôle protecteur de doses infinitésimales de métaux lourds sur la toxicité induite par ces mêmes métaux à dose pondérable.
En exemple l’arsenic ou arsenicum album, le plomb, plumbum et le mercure, mercurius… la toxicité des doses pondérables (dont on peut déterminer le poids) et qui se mesurent en milligrammes ou grammes, pouvaient être atténuées lors d’une administration préventive ou curative de très faibles concentrations de métaux identiques ou semblables.