Sainte-Adèle reçoit Alafolix

Par Lpbw

Il est finalement arrivé dans les Laurentides, ce film tant attendu de Frédéric Forestier et Thomas Langmann, Astérix aux Jeux Olympiques. Stéphane Rousseau (Alafolix) était présent à la première représentation médiatique à Sainte-Adèle dimanche dernier…

Comme l’explique la bande dessinée tirée du film, « Les plus grands athlètes du monde antique sont réunis en Grèce pour y disputer les Jeux olympiques. Le jeune Gaulois, Alafolix, soutenu par ses amis Astérix et Obélix, prend part aux épreuves afin de gagner le cœur de la sublime princesse grecque Irina. Puissant, vil et malfaisant, l’infâme Brutus se dresse sur son chemin. Fils de Jules César, dont il convoite assidûment le trône, il est prêt à tout pour épouser la fille du roi des Grecs. »

Selon Stéphane Rousseau, Uderzo n’aurait pas apprécié le film précédent « Astérix et Cléopâtre ». Il cherchait une différente réalisation, axée sur la famille. « Ce n’était pas facile de travailler avec deux réalisateurs, parfois leurs idées étaient différentes et il fallait s’ajuster à eux. Ce film-ci vise les plus jeunes, était plus familial. On a donc pris des acteurs d’un peu partout pour donner un autre résultat. »

Alafolix

Monsieur Rousseau a été approché pour incarner le rôle du jeune Alafolix. Il explique avoir dû faire quelques sacrifices pour y parvenir. « Mon rôle est celui d’un homme doux, amoureux et un peu maladroit avec un grande vulnérabilité. J’ai l’habitude de faire des blagues, mais là, je devais laisser cela à d’autres personnages, ce n’était pas toujours facile. Toutefois, mon personnage me ressemble quand même beaucoup et j’ai eu beaucoup de plaisir à le faire. »

Acteurs

On retrouve aussi dans la distribution, Clovis Cornillac (Astérix), Gérard Depardieu( Obélix), Alain Delon (César), Benoît Poelvoorde (Brutus), Franck Dubosc (Assurancetourix) et Vanessa Hessier (Irina). On a pu voir les brèves apparitions de grands athlètes comme Michael Schumacher et Zinedine Zidane.

Monde imaginaire Étant lui-même un amateur des histoires d’Astérix, Stéphane Rousseau s’est senti privilégié de faire partie de cette distribution et avoue s’être laissé emporter par la magie des décors. « Ce qui m’a touché le plus, c’était de circuler dans le petit village Gaulois qu’ils avaient fabriqué. Je me sentais vraiment comme dans la BD, tout avait l’air vrai. »

Après un tournage de 5 mois, on vous propose Astérix aux Jeux Olympiques à l’affiche dès le 11 juillet.

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