(Photo : courtoisie)

Revue culturelle: Quoi de nouveau cette semaine?

Par Rédaction

Sortez-moi de moi – Crave

Disponible sur la plateforme Crave depuis le 7 mai, cette nouvelle série reçoit d’excellentes critiques. La distribution composée notamment de Vincent Leclerc, Sophie Lorain et Pascale Bussières est de haut calibre. La série nous transporte dans l’univers de la santé mentale où la Dre Justine Mathieu fait le suivi de patients amenés par Clara St-Amand et Gabriel Beauregard, intervenants de première ligne en urgence de soins.

Nulle trace

À l’affiche dans les salles de cinéma depuis vendredi, le film Nulle Trace réalisé par Simon Lavoie a remporté le prix du jury au dernier festival de Slamdance. L’oeuvre s’inscrit dans un univers post-apocalyptique où « N », une femme solitaire, voyage à bord de sa draisine sur le chemin de fer. Un jour, elle décide de faire passer la Frontière à une jeune mère et à son bébé. Il s’agira d’une mission périlleuse qui pourrait bien être sa dernière.

Van Weezer

Le groupe de rock américain Weezer a sorti le 7 mai son 15e album. Intitulé Van Weezer, l’album d’une trentaine de minutes comprend 10 chansons et s’écoute très bien. On y retrouve la nostalgie des années 1970 et 1980. C’est à ne pas manquer!

Filibuste – Frédérique Côté

Celle qui a étudié en littérature et en création littéraire à l’Université McGill publie son tout premier roman, Filibuste, qui est disponible en librairie depuis le 11 mai. Dans cette oeuvre de 120 pages, Frédérique Côté s’est intéressée au phénomène des faits divers, dans l’objectif de donner une perspective féminine à celui-ci.

Synopsis

Un dimanche, après le souper familial, trois soeurs apprennent que leur père est impliqué dans un accident. Il se retrouvera dans la rubrique des faits divers. Delphine, Flavie et Bébé encaissent la tragédie, absorbées par leurs chicanes, les petites et les grosses, pleines de ressentiment : la place que chacune occupe dans la famille, la mère qu’on blâme pour tout. Dans Filibuste, le père joue le rôle principal, mais ce sont les femmes qui racontent l’histoire.

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