Les nouveaux humoristes de passage à Saint-Jérôme
Par Lpbw
Découvrez la relève en humour! On vous offre la chance de passer un moment agréable avec les finissants de l’École nationale de l’humour. Soyez aux premières loges pour remarquer les prochains grands noms… Aussi, réfléchissez sur des phénomènes importants de la vie en théâtre…
Patrick Huard, Martin Matte, Jean-Michel Anctil, Claudine Mercier, Louis-José Houde, Dominic et Martin, Mike Ward, les Grandes Gueules, Mario Jean, François Massicotte, Peter MacLeod, Les Denis Drolet, François Morency, Jean-Marc Parent … Ces noms vous disent quelque chose ? Ils ont tous un point en commun, celui d’avoir séjourné au sein de l’École nationale de l’humour. Ils ont tous également participé à la « Tournée des finissants humoristes » de l’ÉNH. C’est le jeudi 2 avril prochain à 20 h à la salle André-Prévost que vous pourrez assister en primeur à la naissance de ceux qui seront les têtes d’affiche de demain…
Au printemps, dès l’arrivée des beaux jours, la cuvée des finissants de l’ÉNH prend la route pour vous faire rire aux larmes. C’est à cette période que nos diplômés déploient cette richesse naturelle bien de chez nous, l’humour.
14 noms
Cette année, 14 nouveaux humoristes, 14 façons de rire, 14 manières de voir la vie différemment. Venez découvrir Gabrielle Caron, Mélanie Ghanimé, Hugo Jacques, Nicholas Lavoie-MsDonald, Kim Lévesque-Lizotte, Jonathan Lord-Legault, Philippe Lussier, Gabriel Masson-Boucher, Steven Paquin, Martin Racine, Alexandre Roof, Alex Smith, Sylvie Tourigny et Lucie Trottier.
Comment j’ai appris à conduire
L’histoire débute par une chaude nuit d’été en 1960. Après plusieurs discussions, un homme dégrafe le soutien-gorge d’une jeune adolescente sur la banquette avant de la voiture… Voici la prémisse d’une bouleversante histoire, « Comment j’ai appris à conduire », que vous pourrez voir sur la scène de la salle André-Prévost le samedi 4 avril à 20 h.
C’est cette jeune adolescente maintenant femme qui nous raconte cette histoire. Au fil des arrêts, des courbes, des routes, ses souvenirs émergent et elle nous dévoile l’étrange relation parfois physique, mais surtout émotionnelle qu’elle a entretenue avec son oncle Peck. À travers ses leçons de conduite, on découvre le présent, le passé et le futur de ces deux êtres.
Fond de l’histoire
Récipiendaire du prix Pulitzer en 1988 pour cette oeuvre, Paula Vogel ne traite pas seulement de la pédophilie, mais démontre par les mémoires de cette femme, le pardon et le désir de survie. L’auteure aborde aussi la famille, le passage de l’adolescence à l’âge adulte, notre emprise sur notre corps et nos pensées, la frontière qui sépare le mal du bien. L’auteure se refuse à réduire l’héroïne au statut de victime ou de faire de son oppresseur un monstre…
Une rencontre préparatoire au spectacle avec la metteure en scène et directrice artistique du Théâtre de l’Opsis, Luce Pelletier, précédera à 19 h 15. De plus, à la fin de la pièce, les spectateurs pourront rencontrer les artistes et les artisans de cette création afin d’échanger avec eux.