Courtoisie

Coups de food : Caroline Néron fait découvrir les Laurentides

Par Simon Cordeau

La 11e saison de Coups de food, qui a commencé le 10 janvier sur Zeste, passe par les Laurentides. L’épisode, où Caroline Néron accompagne l’animateur Sébastien Benoit dans quatre commerces de la région, était diffusé le 7 février et est disponible en ligne.

« On a fait le tournage en juin, avec énormément de plaisir », raconte Sébastien Benoit en entrevue. L’épisode nous fait découvrir Au Petit Poucet à Val-David, le Casse-Croute Chez Claudette à Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson, ainsi que la boulangerie Jolifeu et le restaurant Lola 45 à Saint-Sauveur.

Encore des découvertes

Même après 11 saisons, l’animateur affirme qu’il y a « encore beaucoup de resto dont on n’a pas fait la découverte ». Il admet par exemple qu’il n’était jamais allé Au Petit Poucet. « C’est un classique. On m’avait dit que c’était costaud, et je peux confirmer. Mais c’est savoureux ! »

Sébastien Benoit indique avoir « tout aimé » de l’endroit. Les plats traditionnels qui rappellent la cabane à sucre peuvent être lourds, mais la grande diversité d’options permet aussi un repas plus léger, note-t-il. « On a été bien accueillis, dans un décor rustique », ajoute-t-il.

Rafraichissant

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Après, Caroline Néron et l’animateur se sont arrêtés au Casse-Croute Chez Claudette, à Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson. « C’était très satisfaisant, au bord d’un ruisseau avec une terrasse. » Il dit avoir mangé un cheeseburger, un hot-dog et une poutine. « Mais pas au complet ! Sinon j’aurais éclaté », lance-t-il en riant.

Sébastien Benoit indique d’ailleurs qu’après plusieurs années à faire Coups de food, il a appris à se discipliner et à ne pas trop manger. Après tout, chaque journée de tournage compte quatre restos où il serait facile de se laisser tenter par quelques bouchées de plus. « Il faut se discipliner. On est très privilégié, mais ça reste un tournage. Il faut garder le même niveau d’énergie. Donc je joue un peu à la mère avec les invités », confie-t-il. Cela dit, « les techniciens sont des mouettes de première classe. Les assiettes sont terminées et il n’y a pas de gaspillage », assure-t-il.

Mais cette journée-là, après le casse-croute, la chaleur est écrasante. « Caroline Néron a un chalet pas loin. Elle me propose : « Viendrais-tu te baigner ? » J’ai dit oui, mais je n’avais pas de maillot ! Finalement, c’est Jean-François Paradis, le soundman, qui m’a passé son maillot. Plonger dans le lac, ç’a fait du bien et de la place pour les autres repas », raconte l’animateur.

Adopter les Laurentides

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Sébastien Benoit connait bien les Laurentides. « J’ai appris à skier au Sommet Saint-Sauveur. On a des amis à Morin-Heights, à Sainte-Adèle. » L’hiver, il loue un condo « entre Avila et Saint-Sauveur ».

C’est donc lui qui a fait découvrir à Caroline Néron la boulangerie Jolifeu, tout près de chez lui. « C’est une boulangerie extraordinaire, toute petite. C’est un jeune couple de parents qui à ça. Lui, c’est un artiste reconnu pour ses croissants de forme cubique. Des fois ils sont fourrés salés, des fois ils sont sucrés. C’est sensationnel », explique l’animateur.

L’endroit offre aussi des pains faits grâce à une longue fermentation. « Ce sont vraiment des artisans boulangers. Les gens pensent que ça se fait tout seul, mais ils se lèvent tard dans la nuit pour faire tout ça », rappelle-t-il.

Des rencontres décontractées

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Chaque journée de tournage de Coups de food dure entre 12 et 14 heures, indique Sébastien Benoit. « C’est une grosse journée. Mais la beauté de ce show-là, ça fait en sorte que je rencontre un artiste sur une longue période. Ça ne veut pas dire qu’ils baissent les gardes, mais le cadre d’une bouffe, ça détend les gens. Ça amène d’autres révélations. On est moins formatés que sur un plateau de tournage, par exemple. Même moi, je suis plus décontracté. Je me laisse beaucoup guidé par l’humeur du moment. Je n’ai jamais une liste de questions précises. »

Caroline Néron et lui ont d’ailleurs soupé tard, au Lola 45, lors du tournage. « C’est drôle, parce qu’elle, c’est une couche-tôt et lève-tôt. Donc là, qu’on commence à souper à 20 h, avec un souper un peu copieux, c’était contre-nature », raconte l’animateur avec humour.

Au Lola 45, Sébastien Benoit dit avoir aimé « l’ambiance et la bouffe ». « Les frites sont killer ! On a mangé une sorte de surf and turf, avec une queue de homard et une pièce de boeuf. C’était Collin [Strohbach, qui a participé à l’émission Les chefs!]. Il a quitté le Lola, mais je suis retourné depuis, et j’ai encore trouvé dans la qualité dans l’assiette », souligne l’animateur.


À l’agenda

Quoi : Coups de food dans les Laurentides

Quand : 7 février 22 h

Où : Sur Zeste

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