Automobile
15 trucs pour économiser sur l’essence
La consommation d’essence d’un véhicule dépend évidemment de son poids et de sa mécanique, mais vos habitudes de conduite y sont aussi pour quelque chose.
Voici quelques pratiques à adopter pour espacer vos arrêts à la pompe.
L’écoconduite, vous connaissez?
Enseignée dans les cours de conduite automobile, l’écoconduite prône la douceur en accélération et en freinage. En plus de conserver une distance raisonnable avec le véhicule qui se trouve devant le sien, l’écoconduite recommande de maintenir sa vitesse de croisière.
Dosez l’utilisation du climatiseur
L’utilisation du climatiseur peut faire grimper de 20% la consommation d’essence. C’est pour cette raison qu’il est conseillé d’ouvrir les fenêtres en ville. En revanche, sur l’autoroute, il est plus économique d’utiliser le climatiseur que de baisser les fenêtres.
Ne faites pas le plein n’importe où ou n’importe quand
D’un moment à l’autre dans une semaine et d’un secteur à un autre, le prix du litre d’essence peut grandement varier. Pour vous aider à magasiner votre carburant, CAA-Québec a mis en place l’outil Info Essence qui vous indique le prix réaliste que vous devriez payer en fonction de l’endroit où vous vous situez.
La fidélité, ça paie!
Les différentes bannières des pétrolières proposent des cartes de fidélité. Bien que les rabais ne soient pas astronomiques, c’est un moyen comme un autre. Et l’effort requis est plus que minime. Chaque cent économisé est un cent de plus dans vos poches.
L’entretien, c’est la clé
Une voiture qui n’est pas adéquatement entretenue peut consommer jusqu’à 25% plus d’essence. Ne remettez pas au lendemain la prise de rendez-vous pour votre voiture. Vous pourriez en payer les conséquences à chaque plein.
Vos pneus sont bien gonflés?
Un pneu pas assez ou trop gonflé peut faire augmenter la consommation de votre véhicule. Ainsi, assurez-vous que la pression d’air des pneus correspond à celle recommandée par le manufacturier. L’information se trouve notamment sur l’étiquette dans l’intérieur de la portière du conducteur.
Ne trimballez pas tout votre bataclan
À quoi bon conserver le support à ski en plein été? Il en est de même pour l’attirail de pique-nique en hiver. Ne transportez pas avec vous des objets inutiles. En allégeant votre voiture, vous éviterez de faire grimper votre consommation. Une augmentation de 1% de l’essence brûlée s’observe pour chaque 25 kilogrammes supplémentaire.
N’achetez pas n’importe quel véhicule
Si vous achetez un véhicule utilitaire sport ou une camionnette, ne vous plaignez pas de la consommation élevée d’essence. Si vous avez deux véhicules à votre domicile, n’hésitez pas à emprunter celui qui est le moins énergivore pour vos plus longs trajets.
La voiture hybride est une possibilité
En 2019, le marché automobile propose bien plus de véhicules hybrides que lors de l’introduction de ce type de motorisation au tournant de l’an 2000. Ça peut être une excellente solution de rechange . Il en est de même pour les voitures hybrides rechargeables. Pour ne plus consommer d’essence du tout, l’achat d’un véhicule entièrement électrique peut être envisagé.
Ne vous déplacez pas n’importe quand
Grâce à des applications comme Google Maps et Waze, vous pouvez planifier vos déplacements et éviter d’être coincé dans un bouchon. Vous pouvez aussi en profiter pour combiner vos commissions.
Le chauffe-moteur, votre allié!
D’après CAA-Québec, l’utilisation d’un chauffe-moteur en hiver vous permettra d’économiser environ 15% d’essence pour des trajets de 20 kilomètres ou moins.
Coupez le moteur si vous ne roulez pas
En hiver, il est recommandé de préchauffer le moteur. Cependant, une durée de 30 secondes suffit. Autrement, il est inutile de laisser un moteur tourner si vous ne roulez pas. Il consomme entre 1,1 et 4 L à l’heure lorsqu’il est au ralenti.
L’ordinaire est extraordinaire
Les mythes entourant l’essence sont nombreux. Alimenter votre voiture avec de l’essence super lorsque le manufacturier ne le recommande pas revient au même que si vous jetiez votre argent par les fenêtres. À l’inverse, il est déconseillé d’utiliser de l’essence ordinaire si votre voiture exige du super. Informez-vous quant aux besoins de votre voiture.
Soyez méfiants des gadgets
Une multitude de gadgets sont disponibles sur Internet pour réaliser des économies de carburant. Or, après avoir réalisé divers tests, CAA-Québec a conclu qu’aucun de ces bidules n’apporte un réel rendement.
L’auto n’est pas le seul moyen de transport
La voiture n’est pas le seul moyen de transport. Lorsque cela est possible, privilégiez le transport en commun, la marche ou le vélo. Le covoiturage peut également être une option intéressante.
Sondage : l’imprudence des conducteurs est en hausse
Malgré les confinements et le télétravail rendus nécessaires par la pandémie de COVID-19, le Québec va terminer l’année 2020 avec plus de décès et de blessures graves sur les routes qu’en 2019, si l’on se fie aux statistiques de la Société de l’assurance automobile du Québec.
Les conducteurs sont-ils plus stressés et distraits dans le contexte actuel? Selon un sondage réalisé à la mi-décembre par l’Association canadienne des automobilistes (CAA), une majorité de Canadiens (56 %) affirme percevoir que les comportements dangereux se multiplient sur la route depuis la fin des vacances estivales.
C’est le cas pour les excès de vitesse (35 %), la conduite agressive (32 %) et l’utilisation du cellulaire au volant (30 %). COVID ou pas, le risque est toujours aussi présent.
« On remarque un faux sentiment de sécurité chez les conducteurs ces temps-ci. Avec moins de véhicules sur les routes en raison de la pandémie, certains automobilistes pensent qu’ils peuvent conduire de façon plus téméraire », affirme Ian Jack, vice-président aux affaires publiques du CAA.
La situation ne devrait pas s’améliorer à court terme, la saison froide étant propice aux conditions routières variées et changeantes. Au fait, avez-vous bien préparé votre véhicule pour l’hiver? Ne manquez pas de cliquer sur le lien pour quelques rappels et conseils utiles. Ou encore, découvrez nos 10 bons trucs à adopter sur la route en hiver.
« Avec l’hiver qui s’installe et dans un contexte où tant d’automobilistes conduisent moins fréquemment, il est plus que jamais essentiel de redoubler de prudence et d’adapter sa conduite aux conditions hivernales souvent imprévisibles », renchérit Marco Harrison, directeur de la Fondation CAA-Québec.
Quelques conseils
L’organisme partage d’ailleurs ses propres conseils à ceux qui doivent prendre la route dans les prochaines semaines :
- Prenez le temps qu’il faut pour vous rendre à destination. Les conducteurs pressés sont plus enclins à la prise de risques et de possibles fâcheuses conséquences pour eux, mais aussi pour les autres.
- Programmez votre GPS et votre liste de lecture musicale avant de partir. Rien de mieux que de prévenir les distractions au volant en les réglant avant le départ.
- Faites attention aux piétons et aux cyclistes. Avec une visibilité parfois réduite, établissez un contact visuel avec les piétons et surveillez vos angles morts pour les cyclistes.
- Déneigez bien votre auto. Avant de partir, retirez toute la neige et la glace de vos vitres, miroirs et phares. Les « igloos mobiles » sont un danger public et leurs propriétaires s’exposent à une amende salée.
- Allumez vos feux et phares non seulement pour éclairer votre chemin convenablement, mais aussi pour vous assurer d’être bien vu par les autres usagers de la route.
Sondage : l’imprudence des conducteurs est en hausse
Malgré les confinements et le télétravail rendus nécessaires par la pandémie de COVID-19, le Québec va terminer l’année 2020 avec plus de décès et de blessures graves sur les routes qu’en 2019, si l’on se fie aux statistiques de la Société de l’assurance automobile du Québec.
Les conducteurs sont-ils plus stressés et distraits dans le contexte actuel? Selon un sondage réalisé à la mi-décembre par l’Association canadienne des automobilistes (CAA), une majorité de Canadiens (56 %) affirme percevoir que les comportements dangereux se multiplient sur la route depuis la fin des vacances estivales.
C’est le cas pour les excès de vitesse (35 %), la conduite agressive (32 %) et l’utilisation du cellulaire au volant (30 %). COVID ou pas, le risque est toujours aussi présent.
« On remarque un faux sentiment de sécurité chez les conducteurs ces temps-ci. Avec moins de véhicules sur les routes en raison de la pandémie, certains automobilistes pensent qu’ils peuvent conduire de façon plus téméraire », affirme Ian Jack, vice-président aux affaires publiques du CAA.
La situation ne devrait pas s’améliorer à court terme, la saison froide étant propice aux conditions routières variées et changeantes. Au fait, avez-vous bien préparé votre véhicule pour l’hiver? Ne manquez pas de cliquer sur le lien pour quelques rappels et conseils utiles. Ou encore, découvrez nos 10 bons trucs à adopter sur la route en hiver.
« Avec l’hiver qui s’installe et dans un contexte où tant d’automobilistes conduisent moins fréquemment, il est plus que jamais essentiel de redoubler de prudence et d’adapter sa conduite aux conditions hivernales souvent imprévisibles », renchérit Marco Harrison, directeur de la Fondation CAA-Québec.
Quelques conseils
L’organisme partage d’ailleurs ses propres conseils à ceux qui doivent prendre la route dans les prochaines semaines :
- Prenez le temps qu’il faut pour vous rendre à destination. Les conducteurs pressés sont plus enclins à la prise de risques et de possibles fâcheuses conséquences pour eux, mais aussi pour les autres.
- Programmez votre GPS et votre liste de lecture musicale avant de partir. Rien de mieux que de prévenir les distractions au volant en les réglant avant le départ.
- Faites attention aux piétons et aux cyclistes. Avec une visibilité parfois réduite, établissez un contact visuel avec les piétons et surveillez vos angles morts pour les cyclistes.
- Déneigez bien votre auto. Avant de partir, retirez toute la neige et la glace de vos vitres, miroirs et phares. Les « igloos mobiles » sont un danger public et leurs propriétaires s’exposent à une amende salée.
- Allumez vos feux et phares non seulement pour éclairer votre chemin convenablement, mais aussi pour vous assurer d’être bien vu par les autres usagers de la route.
Les Fiat 500L et 124 Spider ne seront pas de retour en 2021
Le constructeur américain FCA vient d’annoncer ce que plusieurs anticipaient : la mort des Fiat 500L et de 124 Spider. Ces deux modèles ne seront effectivement pas de retour pour l’année 2021.
Ainsi, la marque Fiat poursuivra son aventure en Amérique du Nord avec un seul véhicule, soit le multisegment sous-compact 500X. La Fiat 500, pour sa part, avait été éliminée en 2019.
Ce n’est pas du tout une surprise quand on regarde les chiffres de ventes de la 500L et de la 124 Spider, qui figurent de loin parmi les modèles les moins populaires sur le marché. La première n’a trouvé que 13 preneurs dans tout le Canada en 2018 et 12 l’an dernier. Pour la seconde, les ventes se sont élevées respectivement à 285 et 205 unités.
Après neuf mois en 2020, la petite familiale a vendu 11 exemplaires au pays, contre 144 pour le cabriolet qui emprunte sa plateforme, sa transmission et son habitacle à la Mazda MX-5.
Et le Fiat 500X?
Cousin du Jeep Renegade, le Fiat 500X n’est pas très populaire lui non plus malgré la folie des petits utilitaires en ce moment. Il faut dire que son prix de base de plus de 31 000 $ ne l’aide vraiment pas.
Son moteur, un bloc de 1,3 litre turbocompressé, propose 177 chevaux et 210 livres-pied de couple. Fiat n’a retenu qu’une seule transmission, soit une boîte automatique comptant neuf rapports.
Pour 2021, un nouvel ensemble d’apparence sport est offert en version Pop, comprenant entre autres des jantes sport de 18 pouces, des pare-chocs sport, des embouts d’échappement brillants et des garnitures extérieures gris foncés. Les versions Pop et Trekking recevront aussi un nouveau tissu pour les sièges et de nouvelles insertions sur la planche de bord. Enfin, le 500X Sport est de retour pour une deuxième année-modèle.
En vidéo : Essai comparatif en piste avec la Mazda MX-5 et la Fiat 124 spider
Les Fiat 500L et 124 Spider ne seront pas de retour en 2021
Le constructeur américain FCA vient d’annoncer ce que plusieurs anticipaient : la mort des Fiat 500L et de 124 Spider. Ces deux modèles ne seront effectivement pas de retour pour l’année 2021.
Ainsi, la marque Fiat poursuivra son aventure en Amérique du Nord avec un seul véhicule, soit le multisegment sous-compact 500X. La Fiat 500, pour sa part, avait été éliminée en 2019.
Ce n’est pas du tout une surprise quand on regarde les chiffres de ventes de la 500L et de la 124 Spider, qui figurent de loin parmi les modèles les moins populaires sur le marché. La première n’a trouvé que 13 preneurs dans tout le Canada en 2018 et 12 l’an dernier. Pour la seconde, les ventes se sont élevées respectivement à 285 et 205 unités.
Après neuf mois en 2020, la petite familiale a vendu 11 exemplaires au pays, contre 144 pour le cabriolet qui emprunte sa plateforme, sa transmission et son habitacle à la Mazda MX-5.
Et le Fiat 500X?
Cousin du Jeep Renegade, le Fiat 500X n’est pas très populaire lui non plus malgré la folie des petits utilitaires en ce moment. Il faut dire que son prix de base de plus de 31 000 $ ne l’aide vraiment pas.
Son moteur, un bloc de 1,3 litre turbocompressé, propose 177 chevaux et 210 livres-pied de couple. Fiat n’a retenu qu’une seule transmission, soit une boîte automatique comptant neuf rapports.
Pour 2021, un nouvel ensemble d’apparence sport est offert en version Pop, comprenant entre autres des jantes sport de 18 pouces, des pare-chocs sport, des embouts d’échappement brillants et des garnitures extérieures gris foncés. Les versions Pop et Trekking recevront aussi un nouveau tissu pour les sièges et de nouvelles insertions sur la planche de bord. Enfin, le 500X Sport est de retour pour une deuxième année-modèle.
En vidéo : Essai comparatif en piste avec la Mazda MX-5 et la Fiat 124 spider
GMC Acadia 2020 AT4: une miette de testostérone
À mi-chemin entre les GMC Terrain et Yukon, l’Acadia incarne le rôle du véhicule utilitaire sport intermédiaire à deux ou trois rangées pour cette bannière de General Motors.
Cet automne, Le Guide de l’auto l’a mis à l’essai et voici ce que l’on en a pensé.
Un choix de trois (!) moteurs
En optant pour le système à quatre roues motrices – une caractéristique clé pour affronter l’hiver québécois -, les consommateurs ont le choix entre un moteur turbocompressé à quatre cylindres de 2,0 L et un moteur V6 de 3,6 L. Ceux-ci développent respectivement une puissance de 230 et 310 chevaux ainsi qu’un couple 258 et 271 livres-pied.
Dans le cas d’une version SLE de base, dotée des roues motrices avant, un moteur à quatre cylindres de 2,5 L loge sous le capot. Celui-ci génère une puissance de 193 chevaux et un couple de 188 livres-pied.
Bien que le V6 de 3,6 L ne soit pas un choix très original considérant que General Motors l’insère sous le capot d’une panoplie de ses véhicules, il s’agit d’une mécanique efficace, qui a fait ses preuves et dont les capacités sont intéressantes.
Notons que vous aurez droit à une boîte automatique étagée sur neuf rapports, et ce, peu importe le bloc choisi. Soulignons qu’elle travaille et qu’elle s’est faite plus que discrète lors de la période d’essai, ce qui est généralement une bonne nouvelle.
Un ensemble AT4 attrayant
Si l’on a connu un véritable succès avec la sous-marque de GMC qu’est Denali, on tente de reproduire le même exploit avec la plus récente sous-marque qu’est AT4. Et on est sur la bonne voie. Alors qu’avec les versions Denali on mise sur le luxe et l’aspect bling-bling provoqué par le chrome, on opte pour une tangente plus agressive et davantage orientée vers le hors route avec les moutures AT4. D’un modèle à l’autre, l’intensité du traitement AT4 varie.
Dans le cas de l’Acadia, on reconnaît cette version par son bouclier, ses rétroviseurs latéraux et ses longerons de toit noircis. On observe aussi la présence de garnitures noires chromées. Soulignons qu’elle est chaussée de pneus tout-terrain de 17 pouces montés sur des jantes qui sont noires également. Bien que les pneus lui confèrent une allure quelque peu agressive, il faut savoir que l’on perd légèrement sur le silence de roulement.
Franchement, le tout est de bon goût. En revanche, après avoir vu ce que l’on a été capable de faire avec les Canyon et Sierra, par exemple, dans leur livrée AT4, on aurait été en droit de s’attendre à une application plus radicale. D’ailleurs, cette direction pourrait permettre au Canyon de se démarquer dans ce segment immensément compétitif. Et ça, c’est sans parler du fait que bon nombre des joueurs dans ce créneau brillent par leur manque - ou carrément leur absence - de personnalité.
À bord
Une fois à bord de l’Acadia AT4, on remarque tout de suite que les surpiqûres oranges égayent à leur façon les sièges recouverts de tissu. À cet effet, il nous apparaît indécent de nous proposer un véhicule de ce prix (tout près de 50 000 $) avec si peu d’équipement. Notons par ailleurs que le véhicule d’essai n’était pas non plus doté d’un volant chauffant. Encore une fois, pour le prix demandé, ça nous paraît exagéré de la part de General Motors. Quand on s’attarde à ces petits détails, on comprend davantage les raisons pour lesquelles les acheteurs jettent leur dévolu sur des véhicules comme le Honda Pilot ou même le Toyota Highlander.
Cela dit, nous avons bien apprécié son système d’infodivertissement jumelé à un écran tactile de huit pouces. Ses menus sont clairs et il est facile d’y naviguer.
Mentionnons aussi que l’habitacle de l’Acadia peut être configuré selon nos besoins. En effet, le constructeur américain offre le choix entre une configuration à deux rangées pouvant accueillir cinq occupants ou une configuration à trois rangées pouvant recevoir deux passagers supplémentaires.
Consommation
En ce qui a trait à la consommation, l’ordinateur de bord a enregistré une cote de 12,6 L/100 kilomètres. De son côté, Ressources naturelles Canada affiche une cote de 11,4 L/100 kilomètres en conduite combinée. Elle baisse à 10,1 dans le cas d’une version à quatre roues motrices qui abriterait le moteur turbocompressé à quatre cylindres de 2,0 L.
En bref
Bien que nous apprécions son moteur V6 et son allure quelque peu costaude, nous sommes d’avis que ce modèle pourrait connaître davantage de succès s’il était mieux équipé et surtout, s’il était réellement plus orienté vers la conduite hors route.
GMC Acadia 2020 AT4: une miette de testostérone
À mi-chemin entre les GMC Terrain et Yukon, l’Acadia incarne le rôle du véhicule utilitaire sport intermédiaire à deux ou trois rangées pour cette bannière de General Motors.
Cet automne, Le Guide de l’auto l’a mis à l’essai et voici ce que l’on en a pensé.
Un choix de trois (!) moteurs
En optant pour le système à quatre roues motrices – une caractéristique clé pour affronter l’hiver québécois -, les consommateurs ont le choix entre un moteur turbocompressé à quatre cylindres de 2,0 L et un moteur V6 de 3,6 L. Ceux-ci développent respectivement une puissance de 230 et 310 chevaux ainsi qu’un couple 258 et 271 livres-pied.
Dans le cas d’une version SLE de base, dotée des roues motrices avant, un moteur à quatre cylindres de 2,5 L loge sous le capot. Celui-ci génère une puissance de 193 chevaux et un couple de 188 livres-pied.
Bien que le V6 de 3,6 L ne soit pas un choix très original considérant que General Motors l’insère sous le capot d’une panoplie de ses véhicules, il s’agit d’une mécanique efficace, qui a fait ses preuves et dont les capacités sont intéressantes.
Notons que vous aurez droit à une boîte automatique étagée sur neuf rapports, et ce, peu importe le bloc choisi. Soulignons qu’elle travaille et qu’elle s’est faite plus que discrète lors de la période d’essai, ce qui est généralement une bonne nouvelle.
Un ensemble AT4 attrayant
Si l’on a connu un véritable succès avec la sous-marque de GMC qu’est Denali, on tente de reproduire le même exploit avec la plus récente sous-marque qu’est AT4. Et on est sur la bonne voie. Alors qu’avec les versions Denali on mise sur le luxe et l’aspect bling-bling provoqué par le chrome, on opte pour une tangente plus agressive et davantage orientée vers le hors route avec les moutures AT4. D’un modèle à l’autre, l’intensité du traitement AT4 varie.
Dans le cas de l’Acadia, on reconnaît cette version par son bouclier, ses rétroviseurs latéraux et ses longerons de toit noircis. On observe aussi la présence de garnitures noires chromées. Soulignons qu’elle est chaussée de pneus tout-terrain de 17 pouces montés sur des jantes qui sont noires également. Bien que les pneus lui confèrent une allure quelque peu agressive, il faut savoir que l’on perd légèrement sur le silence de roulement.
Franchement, le tout est de bon goût. En revanche, après avoir vu ce que l’on a été capable de faire avec les Canyon et Sierra, par exemple, dans leur livrée AT4, on aurait été en droit de s’attendre à une application plus radicale. D’ailleurs, cette direction pourrait permettre au Canyon de se démarquer dans ce segment immensément compétitif. Et ça, c’est sans parler du fait que bon nombre des joueurs dans ce créneau brillent par leur manque - ou carrément leur absence - de personnalité.
À bord
Une fois à bord de l’Acadia AT4, on remarque tout de suite que les surpiqûres oranges égayent à leur façon les sièges recouverts de tissu. À cet effet, il nous apparaît indécent de nous proposer un véhicule de ce prix (tout près de 50 000 $) avec si peu d’équipement. Notons par ailleurs que le véhicule d’essai n’était pas non plus doté d’un volant chauffant. Encore une fois, pour le prix demandé, ça nous paraît exagéré de la part de General Motors. Quand on s’attarde à ces petits détails, on comprend davantage les raisons pour lesquelles les acheteurs jettent leur dévolu sur des véhicules comme le Honda Pilot ou même le Toyota Highlander.
Cela dit, nous avons bien apprécié son système d’infodivertissement jumelé à un écran tactile de huit pouces. Ses menus sont clairs et il est facile d’y naviguer.
Mentionnons aussi que l’habitacle de l’Acadia peut être configuré selon nos besoins. En effet, le constructeur américain offre le choix entre une configuration à deux rangées pouvant accueillir cinq occupants ou une configuration à trois rangées pouvant recevoir deux passagers supplémentaires.
Consommation
En ce qui a trait à la consommation, l’ordinateur de bord a enregistré une cote de 12,6 L/100 kilomètres. De son côté, Ressources naturelles Canada affiche une cote de 11,4 L/100 kilomètres en conduite combinée. Elle baisse à 10,1 dans le cas d’une version à quatre roues motrices qui abriterait le moteur turbocompressé à quatre cylindres de 2,0 L.
En bref
Bien que nous apprécions son moteur V6 et son allure quelque peu costaude, nous sommes d’avis que ce modèle pourrait connaître davantage de succès s’il était mieux équipé et surtout, s’il était réellement plus orienté vers la conduite hors route.
Une deuxième Volvo électrique s’en vient bientôt
Volvo, qui espère vendre au moins un million de véhicules électriques par année d’ici 2025 et du même coup ne plus offrir de modèles entièrement à essence, nous dévoilera bientôt le second joueur de son offensive.
Le 2 mars prochain, le constructeur suédois présentera en effet une voiture électrique qui viendra accompagner le multisegment XC40 Recharge fraîchement arrivé sur le marché canadien.
Le chef de la direction de Volvo, Hakan Samuelsson, a annoncé la nouvelle à Automotive News.
Que sait-on à propos de ce véhicule? Eh bien, il reposera sur la même plateforme compacte modulaire (CMA) que le XC40 Recharge, ce qui laisse présager une autonomie similaire, soit 335 kilomètres. Oublions donc le XC20 qui fait l’objet de rumeurs depuis quelques semaines, car celles-ci penchent plutôt vers une autre architecture empruntée à Geely, le constructeur chinois qui possède Volvo.
Promettant « un design d’une grande beauté », Samuelsson parle aussi d’un produit dont le prix est assez élevé pour permettre à Volvo de faire un certain profit, donc ne vous attendez pas à quelque chose de très abordable. À titre indicatif, le XC40 Recharge se vend à partir de 64 950 $ avant les frais de transport et de préparation.
Durement affectée en début d’année par la pandémie de COVID-19 comme le reste de l’industrie, Volvo a pu se ressaisir au troisième trimestre de 2020, enregistrant des ventes de 3 119 unités au Canada, en hausse de 19,7% par rapport à la même période de 2019.
À plus long terme, Volvo entend devenir une compagnie automobile 100% électrique d’ici 2030.
En vidéo : Volvo fait tomber des voitures du ciel; découvrez pourquoi!
Une deuxième Volvo électrique s’en vient bientôt
Volvo, qui espère vendre au moins un million de véhicules électriques par année d’ici 2025 et du même coup ne plus offrir de modèles entièrement à essence, nous dévoilera bientôt le second joueur de son offensive.
Le 2 mars prochain, le constructeur suédois présentera en effet une voiture électrique qui viendra accompagner le multisegment XC40 Recharge fraîchement arrivé sur le marché canadien.
Le chef de la direction de Volvo, Hakan Samuelsson, a annoncé la nouvelle à Automotive News.
Que sait-on à propos de ce véhicule? Eh bien, il reposera sur la même plateforme compacte modulaire (CMA) que le XC40 Recharge, ce qui laisse présager une autonomie similaire, soit 335 kilomètres. Oublions donc le XC20 qui fait l’objet de rumeurs depuis quelques semaines, car celles-ci penchent plutôt vers une autre architecture empruntée à Geely, le constructeur chinois qui possède Volvo.
Promettant « un design d’une grande beauté », Samuelsson parle aussi d’un produit dont le prix est assez élevé pour permettre à Volvo de faire un certain profit, donc ne vous attendez pas à quelque chose de très abordable. À titre indicatif, le XC40 Recharge se vend à partir de 64 950 $ avant les frais de transport et de préparation.
Durement affectée en début d’année par la pandémie de COVID-19 comme le reste de l’industrie, Volvo a pu se ressaisir au troisième trimestre de 2020, enregistrant des ventes de 3 119 unités au Canada, en hausse de 19,7% par rapport à la même période de 2019.
À plus long terme, Volvo entend devenir une compagnie automobile 100% électrique d’ici 2030.
En vidéo : Volvo fait tomber des voitures du ciel; découvrez pourquoi!
Une Ferrari et une Rolls-Royce de Donald Trump à l’encan
Avant de devenir le 45e président des États-Unis, Donald Trump a collectionné plusieurs voitures exceptionnelles. Deux de celles lui ayant déjà appartenu se retrouveront aux enchères lors d’un encan organisé par Mecum à Kissimmee, en Floride, au mois de janvier.
La plus intéressante est très certainement sa Ferrari F430. Elle avait déjà été vendue en 2017 pour 270 000 $US (environ 350 000 $ canadiens). Son nouveau propriétaire s’était également porté acquéreur de la Rolls-Royce Phantom de Trump et il a décidé de se départir de la paire.
La F430 2007 en question est peinte en Rouge Corsa et possède un intérieur beige. Tant la carrosserie que l’habitacle sont en superbe état, ce qui doit être la même chose pour la mécanique puisque la voiture a roulé à peine 10 000 kilomètres. La vente comprend le certificat de propriété original avec la signature authentique de Trump, augmentant considérablement la valeur du bolide.
Dans le cas de la Rolls-Royce, on parle d’une Phantom 2010 affichant plus de 90 000 kilomètres au compteur. Elle renferme un ensemble Théâtre aux places arrière, une éblouissante doublure de plafond étoilée et des rideaux électriques, sans oublier un manuel du propriétaire dans lequel Trump a signé son nom et écrit : « I loved the car, it is great! Best of luck. »
Le montant de la vente précédente en 2018 s’est élevé à 145 000 $ (environ 188 000 $ canadiens), mais encore là, on s’attend à plus cher cette fois-ci.
Sur laquelle de ces deux voitures miseriez-vous?
En vidéo : Un Québécois présente sa collection exceptionnelle de Ferrari
L’autonomie électrique de la Ford Mustang Mach-E est enfin confirmée
Non seulement la Ford Mustang Mach-E 2021 est plus puissante que prévu, mais selon les chiffres officiels publiés hier par l’Agence de protection de l’environnement (EPA) aux États-Unis, le multisegment électrique offre aussi une autonomie supérieure à ce qui était précédemment annoncé par le constructeur.
Dans la plupart des cas, on parle d’une augmentation d’une quinzaine de kilomètres.
Ainsi, la Mustang Mach-E régulière à propulsion passe de 355 à 370 km, tandis que celle à rouage intégral peut parcourir 340 km au lieu des 325 km anticipés.
En ce qui concerne la Mustang Mach-E à autonomie prolongée, la version à propulsion permettra de rouler non pas 475 km mais plutôt 483 km avec une pleine recharge. Avec quatre roues motrices, les 425 km annoncés par Ford ont finalement été revus à 435 km par l’EPA.
Notez que la Mustang Mach-E Californie Route 1 n’a pas encore été testée par l’organisme fédéral américain, mais elle devrait obtenir la même cote officielle de 483 km que la plus endurante des autres versions.
Chez nous, Ressources naturelles Canada n’a pas encore publié ses chiffres au moment d’écrire ces lignes. Attendez-vous toutefois à ce qu’ils reflètent parfaitement ceux énumérés ci-dessus.
En passant, où se situent les principaux concurrents? Le Tesla Model Y est le champion avec une autonomie qui varie de 488 à 525 kilomètres. Il y a aussi la Polestar 2 (375 km) et l’Audi e-tron (357 km), sans oublier le futur Volkswagen ID.4 qui promet plus de 400 km.
Les livraisons de la Ford Mustang Mach-E 2021 vont débuter dans les prochaines semaines. Suivez Le Guide de l’auto pour ne pas manquer notre premier contact sur la route avec ce VUS électrique!
En vidéo : Antoine Joubert présente la Ford Mustang Mach-E 2021
Voitures électriques : des chercheurs parlent d’une autonomie de 2 000 kilomètres
Oubliez les batteries avec une autonomie de 800 kilomètres que développent les compagnies coréennes Samsung et SK Innovation.
Une nouvelle technologie de fabrication des cellules de batteries mise au point par un groupe de scientifiques allemands et néerlandais permet à ceux-ci d’envisager une voiture électrique avec une autonomie de 2 000 kilomètres. Sans blague.
Au lieu d’inventer une nouvelle chimie, les firmes Fraunhofer (Allemagne) ainsi que SoLayTec et TNO (Pays-Bas) ont plutôt élaboré un processus breveté qu’on appelle Spatial Atom Layer Deposition (SALD).
En gros, il est possible de déposer la matière active des électrodes sous la forme d’une couche ultramince (quelques nanomètres d’épaisseur). Selon ces chercheurs, le captage des ions lithium dans les électrodes n’a lieu qu’à la surface et il ne serait donc pas nécessaire de disposer d’électrodes plus épaisses.
À volume ou poids égal, le procédé SALD permettrait d’accroître considérablement la surface des électrodes et donc leur capacité de stockage d’électricité, sans oublier la vitesse de recharge.
Les voitures électriques munies d’une batterie fabriquée avec ce genre de technologie auraient apparemment une autonomie trois fois plus grande que les meilleures actuellement sur le marché, tandis qu’elles se rechargeraient jusqu’à cinq fois plus vite.
« Une petite voiture électrique aurait donc une autonomie d’au moins 1 000 kilomètres et une grosse limousine pourrait même parcourir 2 000 kilomètres sans recharger, soutient Frank Verhage, président et directeur général de la société SALD, fondée en vue d’industrialiser et de commercialiser cette innovation. Il ne s’agit pas d’établir un record de distance théorique. Mais nous disons que dans le pire des cas, même en adoptant un style de conduite sportif et dynamique et en faisant fonctionner la climatisation ou le chauffage, vous pourriez encore disposer de 20 à 30 % de charge après 1 000 kilomètres. »
Verhage ajoute que le processus SALD peut s’appliquer aux différentes chimies de cellules existantes de type NMC ou NCA, de même qu’à celles qui sont encore au stade du développement comme les batteries à électrolyte solide. Il compare le tout un peu aux progrès révolutionnaires promis par Tesla lors de son Battery Day de septembre en misant sur des systèmes qui accélèrent le flux d’ions entre les électrodes.
La technologie pourrait être prête d’ici 2022 ou 2023. SALD dit être déjà en discussion avec certains constructeurs automobiles, mais préfère ne pas les nommer pour le moment.
En vidéo: les meilleurs achats 2021 du Guide de l'auto - catégorie des électriques
Nissan songe à se débarrasser de Mitsubishi
Le constructeur japonais Nissan, qui avait accepté de payer plus de 2,5 milliards $ en 2016 pour une part de 34% de Mitsubishi, permettant du même coup à ce dernier de rejoindre l’alliance Renault-Nissan, songe maintenant à s’en débarrasser en partie ou en totalité.
C’est le site Bloomberg qui a rapporté la nouvelle en premier, citant des sources anonymes mais bien au fait des plans de la compagnie. Aucune des deux parties n’a fait de commentaires pour l’instant.
Faut-il se surprendre de cette nouvelle? Oui et non. Il est vrai que les partenariats et alliances peuvent être bénéfiques dans le contexte économique mondial actuel, mais on doit se rappeler aussi que Nissan a connu une année 2019 extrêmement difficile et qu’une importante restructuration est en cours.
Ça passe notamment par la suppression de milliers d’emplois à travers le monde, la réduction des coûts de production, l’abandon de certains marchés et la rationalisation de la gamme de produits pour ne conserver que les modèles qui répondent vraiment à un besoin (environ 20% seront éliminés).
Lentement mais sûrement, Nissan semble en voie de se remettre sur les rails, comme le prouvent ses derniers résultats financiers. Alors que le fabricant s’attendait à enregistrer une perte d’exploitation de 5,8 milliards $ en 2020, sa prévision vient de baisser à 4,2 milliards $. Au troisième trimestre, le recul est de 59 millions $ comparativement à 373 millions $ lors de la même période l’an dernier.
Évidemment, il reste encore beaucoup d’efforts à faire. La décision de venir en aide à Mitsubishi il y a quatre ans avait été prise par l’ancien patron de l’alliance Renault-Nissan, Carlos Ghosn, mais la nouvelle direction voit les choses d’un œil différent aujourd’hui.
Mitsubishi anticipe une perte d’exploitation de 1,8 milliard $ pour l’année 2020. Plusieurs problèmes sont à corriger de ce côté également, mais la marque espère que ses nouveaux produits vont grandement l’aider. Pensons à l’Eclipse Cross 2022 redessiné et surtout au Mitsubishi Outlander de nouvelle génération. À propos, ce dernier partagera sa plateforme et possiblement son moteur avec le Nissan Rogue 2021.
MISE À JOUR (17/11/2020) : Nissan a émis un communiqué au Japon affirmant qu'il n'est « pas dans les plans de revoir la relation avec Mitsubishi ».
En vidéo : Antoine Joubert présente le Nissan Rogue 2021
Un Jeep Gladiator Willys s’ajoute pour 2021
Comme elle le fait avec son emblématique Wrangler, la marque Jeep ajoute une version Willys à sa camionnette Gladiator pour 2021 – une première.
« Le nouveau Gladiator Willys évoque la gamme originale des modèles Jeep tout en offrant un look agressif et des capacités accrues », a déclaré Jim Morrison, directeur de Jeep en Amérique du Nord.
Ça commence avec un lettrage « Willys » sur les bords du capot, un décalque « 4 Wheel Drive » sur le hayon, des jantes exclusives de 17 pouces au fini noir et une calandre sport au fini noir lustré. Huit couleurs de carrosserie sont proposées, soit Noir, Blanc, Bleu hydro, Cristal granit (notre préférée pour cette édition), Gris Raie, Gris acier, Rouge pétard et Snazzberry.
Dans la cabine du Gladiator Willys, on retrouve des tapis protecteurs et l’ensemble Technologie inclus de série. Ce dernier comprend notamment un écran multimédia de sept pouces avec Apple CarPlay et Android Auto.
Mais tout ceci est moins important que les pneus tout-terrain BFGoodrich KM2 de 32 pouces, les pare-pierres latéraux et amortisseurs haute performance du modèle Rubicon ainsi que le système à quatre roues motrices Command-Trac avec boîtier de transfert à deux vitesses (rapport de 2,72:1 en vitesse basse) et différentiel arrière à glissement limité.
Le moteur de série retenu pour cette version est le V6 Pentastar de 3,6 litres, qui développe 285 chevaux. Le V6 EcoDiesel de 3,0 litres est aussi disponible en option.
Le Jeep Gladiator Willys 2021 est en vente dès maintenant chez les concessionnaires et son prix débute à 50 745 $, auquel il faut ajouter 1 895 $ de frais de transport et de préparation. Sachez aussi que Jeep a légèrement bonifié l’équipement de toutes les versions pour 2021 et qu’une autre édition spéciale, appelée 80e anniversaire en hommage à la marque, apparaît au menu.
En vidéo : notre essai du Jeep Gladiator 2020
Bientôt une batterie qui fournit 800 km d’autonomie en 20 minutes?
La course pour développer des véhicules électriques avec une grande autonomie s’accélère de plus en plus. Et tant les constructeurs automobiles que les géants de l’électronique et des batteries sont impliqués.
Après Samsung et sa batterie de 800 kilomètres annoncée en mars dernier, voilà qu’une autre compagnie coréenne, SK Innovation, fait de grandes promesses.
Lors d’une conférence technologique qui s’est tenue récemment en Corée du Sud, l’entreprise a dit être en train de mettre au point une batterie capable de fournir environ 800 kilomètres d’autonomie avec une simple recharge de 20 minutes sur une borne rapide. Le développement devrait s’achever au plus tôt d’ici la fin de l’année, sinon dans les premiers mois de 2021.
Malheureusement, peu de détails techniques ont été divulgués pour le moment, mais on sait que la batterie en question utilise du nickel à haute densité et qu’il sera possible de la recharger plus de 1 000 fois, à l’instar de celle de Samsung.
SK Innovation est un fournisseur pour Kia, par exemple le Niro EV montré ci-dessus, et elle prendra beaucoup d’expansion dans les prochaines années. D’ailleurs, deux installations sont en construction sur un même site dans l’État de la Géorgie afin de produire jusqu’à 300 000 batteries pour les futurs véhicules électriques de Ford et Volkswagen assemblés aux États-Unis. Pensons au F-150 électrique et à l’ID.4 dévoilé récemment.
Et contrairement à sa rivale domestique LG Chem, notamment associée à la Chevrolet Bolt EV et au Hyundai Kona électrique, aucun cas d’incendie n’a été signalé jusqu’à présent dans des modèles alimentés par une batterie de SK Innovation.
En vidéo : 10 nouveaux véhicules électriques qu'on a hâte de conduire