(Photo : Courtoisie)
Le GREL est de retour pour une 11e édition.

Mettre de l’avant l’entrepreneuriat à l’UQO

Par Alexane Taillon-Thiffeault

Le Grand rendez-vous entrepreneurial des Laurentides (GREL) ouvre ses portes au public le 23 mars prochain au campus de Saint-Jérôme de l’Université du Québec en Outaouais (UQO). L’événement aura lieu de 8 h 15 à plus de 19 h.

 

Le comité organisateur est composé de cinq élèves, qui font partie du Club de Futurs Entrepreneurs Universitaires, ainsi que de trois membres des Services aux étudiants de l’UQO. Sur les lieux, il sera possible de rencontrer de nombreux conférenciers passionnés ainsi que de réseauter avec de nombreux participants.

 

Le but de ce rendez-vous, entre autres, est de « Créer des opportunités de rencontre favorisant les alliances, les partenariats et le réseautage et de favoriser l’acquisition des savoirs », peut-on lire sur le site web de l’UQO.

Se renouveler chaque année

Cette année marque la 11e édition du GREL. Chaque année, le comité organisateur tente de se renouveler avec différentes thématiques. 

 

« À chaque édition, on essaie de sortir du lot. […]  On s’est entendus pour essayer de sortir des sentiers battus pour trouver des thèmes dont on parle moins, des thèmes tabous. On a repensé les limites et les cadres de l’entrepreneuriat », dit Julie-Pier Dugas, étudiante à L’UQO qui est l’une des organisatrices. « Cette année, le thème, c’est « oser entreprendre autrement » », ajoute-t-elle. 

 

Le comité organisateur a pensé à deux nouvelles activités pour le GREL. Entre autres, un atelier d’improvisation et un jeu d’évasion seront offerts pendant la journée. Selon le responsable d’équipe des Services aux étudiants, Olivier Gingras, les deux activités sont pertinentes. « En entrepreneuriat, on va être appelés à improviser ou, des fois, à vivre des situations. Le jeu d’évasion, par exemple, c’est pour le travail d’équipe », explique-t-il.

L’importance de l’implication étudiante

« Il n’y a pas d’étudiants ? Il n’y a pas d’événement. C’est venu de l’idée des étudiants. Il y a 11 ans, ils sont venus me partager ça dans mon bureau, puis on est parti après », souligne Olivier Gingras.

 

Pour Julie-Pier Dugas, il est très important de s’impliquer dans la vie étudiante de l’université à laquelle elle étudie. « Tu te dis que ça doit être incroyable à la fin du GREL de voir tous les morceaux de puzzle s’assembler. Tu as aussi un sentiment gratifiant, puis tu as l’impression d’avoir apporté quelque chose aux gens qui participent », dit-elle.

 

L’organisation du GREL demande toutefois beaucoup de temps. « C’est l’événement le plus majeur du campus. C’est celui-là qui demande le plus de temps, qui a le plus d’envergure », dit M. Gingras.

Une programmation chargée, mais efficace

Vers 9 h le 23 mars, Sylvain Boudreau présentera son concept « Le Moi inc. », où il démontrera que les décisions et l’attitude des gens peuvent influencer leur succès. Les participants pourront ensuite assister à trois ateliers différents, dont La différence, un atout au service de l’entrepreneuriat, L’atelier improvisé et Le repreneuriat : une pratique entrepreneuriale qui gagne à être connue.

 

En après-midi, plusieurs options, dont un panel de trois entrepreneuses dans des domaines liés aux soins et au bien-être, seront à disposition pour les visiteurs. La journée se terminera avec un cinq à sept festif.

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