Les personnalités de l’année (pour le meilleur et pour le pire)
Par Ève Ménard
De qui avons-nous beaucoup parlé cette année ? On vous présente quelques personnes et organisations qui se sont démarquées… pour les bonnes ou les mauvaises raisons.
Caroline Bernard
Première femme à être directrice du Service de police de Saint-Jérôme, Caroline Bernard mérite définitivement sa place après un long parcours comme policière sur le terrain. Protéger les victimes et les plus vulnérables est au cœur de ses préoccupations depuis le début de sa carrière, il y a 30 ans.
Rémi Brideau
À seulement 14 ans, le jeune de Saint-Hippolyte a décroché le premier rôle dans le film Ababouiné. On n’a aucun doute qu’il aura une longue et talentueuse carrière.
Martin Pigeon
En se lançant dans la course à la mairie, Martin Pigeon essaie une stratégie politique audacieuse : réclamer du changement alors qu’on est déjà au pouvoir.
Yvon Deschamps
Invité spécial au Salon des aînés de Saint-Jérôme, Yvon Deschamps a attiré une foule conquise. Il prouve que la vieillesse n’empêche pas d’être une force positive dans la société.
Marc Bourcier
Tel qu’il l’avait promis, Marc Bourcier va se retirer après un seul mandat à la mairie de Saint-Jérôme. Il fait preuve d’une qualité rare chez les politiciens ces temps-ci : être humble et se retirer au bon moment.
Nathalie Lasalle
Pour son implication dans la création d’un code de civilité au sein des conseils municipaux. Et Dieu sait qu’on en a besoin !
Le CSSRDN
La nouvelle politique du CSSRDN, de ne plus assumer le transport des élèves en sports-études, met en péril certains programmes sportifs qui ont fait leurs preuves, et cause l’exil de joueurs élites vers d’autres villes.
La Rayonese
Avec sa fermeture et la mise à pied de 180 personnes, les propriétaires américains de cette usine de textile ont créé une onde de choc. Ces pertes d’emplois, qui s’ajoutent à celles chez Baron Soucy et Lion électrique, font mal à la vitalité économique de Saint-Jérôme.
