Plus de 130 élèves pour la soirée du « Mérite en histoire »
Par Lpbw
MÉRITE. Plus de 130 élèves de secondaire IV ayant obtenu 95 % et plus à l’examen du ministère de l’Éducation, en juin 2014, ont été invités à participer à l’activité du « Mérite en histoire », dans le cadre de la Journée nationale des Patriotes, de la Société nationale des Québécoises et des Québécois, région des Laurentides (SNQL).
Près d’une centaine d’étudiants sont venus accompagnés de leurs parents et amis, des enseignants d’histoire, des membres de la SNQL et du public en général pour une participation de plus, de 300 personnes présentes, nous dit-on à l’organisation.
Chaque élève présent a reçu son certificat du Mérite en histoire, un sac cadeau contenant, entre autres, une bande dessinée intitulée « Le Québec, la vraie histoire ! » écrite par Monsieur Fernand Foisy, en plus de quelques petites surprises.
La SNQL a également remis un cadeau, à l’enseignante Madame Sylvie Richer, de l’école polyvalente Deux-Montagnes qui a eu le plus grand nombre d’élèves ayant obtenu 95 % et plus.
Habituellement, la SNQL remet la médaille de l’Assemblée nationale à l’enseignante ou à l’enseignant ayant le plus d’élèves méritants, mais comme il s’agissait de la deuxième fois que Madame Richer avait le plus d’élèves, la SNQL lui a donc remis une série de livres sur l’histoire du Québec, de l’auteure Anne-Marie Sicotte.
L’auteure des livres sur l’histoire du Québec, Anne-Marie Sicotte ainsi que l’auteur de la bande dessinée, Fernand Foisy présents à l’événement, ont accepté d’autographier leurs livres. En outre, la Société de reconstitution du Bas-Canada a offert un spectacle qui fut fort apprécié.
Par ailleurs, deux élèves, Mélissa Morin, de l’école secondaire Rosemère et Tristan Roy, de l’école polyvalente Sainte-Thérèse ont reçu une bourse de 100 $ remise par le Mouvement national des Québécois (MNQ.
La SNQL considère qu’il est important d’encourager les étudiants à l’apprentissage de l’histoire du Québec : « En effet, Socrate a dit : " Plus une société connait son passé, plus elle est capable de voir son futur". Nul doute que l’histoire est un outil de savoir primordial et que son apprentissage contribue à la formation d’individus susceptibles de mieux comprendre les débats et enjeux de notre société. C’est grâce à leurs efforts soutenus que nous construirons une société digne, fière de ses racines, de son passé, de sa culture, une société à notre image où la transmission de notre histoire continuera sa longue course dans la mémoire du temps. »
