Le bébé de l’année à l’hôpital régional de Saint-Jérôme
Par Daniel Calvé
Le CISSS des Laurentides a annoncé que le premier bébé de l’année a vu le jour à l’unité de naissance de l’Hôpital régional de Saint-Jérôme le 1er janvier 2020 à 2h36! Il s’agit du bébé Assiyah Boudjema, fille de Mme Élisabeth Deshaies et M. Mounir Boudjema. La petite pesait 8 livres et mesurait 20 pouces à sa naissance.
Il s’agit d’un premier enfant pour le couple qui est résident de Laval. La mère me raconte qu’initialement, ils étaient à la maison de naissance de Blainville, située bien plus près de leur domicile. Or, le bébé était en siège ce qui signifie que sa position dans le ventre de la mère était particulière. En effet, il était donc positionné la tête vers le haut alors que généralement, c’est le contraire. Ainsi, pour cette raison, la famille a été transférée à l’hôpital de Saint-Jérôme, en partenariat avec la maison de naissance de Blainville.
L’aventure du 1er janvier
Bien qu’aujourd’hui, la nouvelle famille se retrouve avec le premier bébé de 2020, elle ne s’y attendait pas. De ce fait, Mme Élisabeth Deshaies m’explique qu’une césarienne était en fait prévue pour le matin du 3 janvier. « Si le travail ne se déclenchait pas, on attendait une césarienne le vendredi, mais finalement, j’ai perdu les eaux plus tôt que prévu. Bébé surprise de l’année! », poursuit-elle en riant.
Le couple est arrivé à l’hôpital le 31 décembre autour de 16h. Encore une fois, surprenantes circonstances: « C’est drôle parce qu’en fin d’après-midi, on avait un suivi durant lequel il nous expliquait comment allait se dérouler la césarienne du vendredi matin. Tout était beau, on est reparti à Laval. On a fait deux pas en dehors de la voiture et j’ai perdu les eaux. Alors on est revenu à Saint-Jérôme. »
Le tout s’est donc terminé en césarienne pendant les festivités du nouvel an. La mère affirme avec joie que tout le monde se porte bien. Au moment de notre échange, le 3 janvier, la famille venait tout juste de quitter l’hôpital. « C’était notre petite aventure du 1er janvier! », conclut Élisabeth Deshaies d’un ton amusé.