(Photo : Courtoisie d’Expo-Sno)

Nouvelle relève à la tête d’Expo-Sno

Par Luc Robert

Plus de 1 000 personnes ont profité du beau temps frisquet de l’automne, le samedi 24 septembre, pour visiter l’événement Expo-Sno, à Saint-Jérôme, pavant la voie à la prochaine saison de motoneige.

Expo-SnoDe retour après 2 ans d’absence, le rendez-vous comportait deux volets. « Le show existe depuis plus de 15 ans, mais on revient à peine de la pandémie. Nous avions plus de 60 motoneiges exposées, alors que d’autres bolides ont aussi fait partie du volet marché aux puces. L’engouement des amateurs était beau à voir », a commenté M. Michel Laurin, co-organisateur de l’Expo-Sno.

Passer le flambeau

M. Laurin a pris la relève à la tête de l’événement, en compagnie d’un complice de longue date. « Mon ami Sébastien Avon et moi avons organisé cette exposition de motoneiges antiques, le 24 septembre dernier. Les anciens organisateurs ont décidé de passer le flambeau. Il y a beaucoup d’organisation et de publicité à prévoir pour tenir une telle exposition. Nous remercions Germain Beauséjour, David S. et les autres d’avoir tenu l’événement à bout de bras pendant 15 années. Même s’il y a eu une passation des pouvoirs, nous suivons leurs judicieux conseils pour améliorer l’exposition », a poursuivi M. Laurin.

Expo-SnoLe duo Laurin-Avon a visité d’autres expositions du genre, afin de rehausser l’expérience. « On est allé voir ailleurs ce qui se fait dans les expositions, de New York jusqu’à Sept-Îles. Les nouvelles idées permettent de varier l’exposition. De plus, en automne, c’est différent de l’événement de février. L’hiver, on peut même effectuer des balades avec les modèles antiques. Cette randonnée est très populaire et nous comptons l’organiser à nouveau en février 2023 », a enchaîné Michel Laurin.

La nouvelle génération entend perpétuer l’Expo-Sno pendant de longues années.« J’ai commencé à m’impliquer il y a sept ans. Sébastien et moi avons attrapé la piqure et nous sommes engagés depuis
ce temps. Les visiteurs apprécient voir ce qui se faisait à l’époque : que ce soient les autoneiges B12, les grands véhicules à hélice de 1935, ou encore ceux avec chenilles des années 1970. Amateurs et passionnés sont impressionnés de leur taille et des fonctions qu’elles pouvaient occupées sur la neige. »

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