Les mauvais coups de l’année
Par Rédaction
Le sous-financement de la santé dans les Laurentides
À plusieurs reprises, on a demandé à la population de la région d’éviter les urgences. Tous nos hôpitaux ont besoin de rénovations majeures alors que plus en plus de personnes s’installent dans les Laurentides. Le besoin est encore plus criant durant une pandémie mondiale.
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Les vacances de Trudeau à Tofino
Créer une journée pour travailler sur la réconciliation avec les peuples autochtones… et en profiter pour passer la journée à la plage. Le coût politique ? Des excuses.
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Le déclenchement des élections fédérales
Les politiciens nous proposent du changement. Mais parfois, les citoyens n’en veulent simplement pas.
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Les bulletins de vote à Saint-Sauveur
Le taux de participation est déjà difficile à faire augmenter. Les huit bulletins de vote à remplir à Saint-Sauveur lors de la soirée électorale n’ont certainement pas aidé la cause.
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Le déclin de Plein air Saint-Sauveur
L’organisme créé en janvier 2020 a vu partir plusieurs de ses membres au cours de l’année. Comment promouvoir le plein air à Saint-Sauveur lorsque des bénévoles passionnés quittent le navire ?
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Crise du logement dans les Laurentides
On veut attirer les jeunes et les familles dans la région, mais celles qui sont déjà ici peinent à trouver un logement abordable. Et on ne parle pas d’acheter sa première propriété !
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Le début de saison des Canadiens
… Est-ce qu’on veut vraiment en parler ?
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La faible participation aux élections municipales
Est-ce que les sorties publiques concernant l’intimidation en politique municipale ont eu raison de l’implication des citoyens ? Ou est-ce le désintérêt des citoyens pour les décisions prises dans leur communauté ? Toutes ces réponses ?
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La chute de Vision Saint-Jérôme
Au lieu de s’élever pour se dissocier haut et fort des actions de leur chef Stéphane Maher, ex-maire de Saint-Jérôme, les membres du parti ont tenté de surfer sur leur bonne administration. Résultat : les citoyens ont complètement tourné le dos au parti.
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Anamie Paul
La cheffe du Parti vert a perdu tous ses paris : faire campagne seulement dans sa circonscription et perdre lamentablement, unifier le parti contre soi, perdre l’appui de ses quelques électeurs québécois et faire reculer son parti des progrès des dernières années.