Le Sommet de Saint-Sauveur se prépare à accueillir les touristes
Le Sommet Saint-Sauveur retire son manteau blanc pour accueillir les touristes de la saison estivale. Les stations de ski ferment leurs portes pour laisser la place au Parc F.U.N. et au parc aquatique. Les jeux d’eaux laisseront les curieux s’y baigner le 15 juin prochain. Après deux ans de pandémie, le parc compte revenir à sa capacité maximale. Une nouvelle activité au sein du Parc F.U.N. est aussi prévue.
En plus de préparer la saison d’été 2022, le parc doit réparer les dégâts causés par la tempête qui a touché les Laurentides en cette fin mai.
« Nos équipes sont mobilisées sur les pistes du site pour enlever les gros arbres, récemment tombés à cause du vent. On est très chanceux, les intempéries n’ont pas abîmé de grosses infrastructures. Cela n’aura aucun impact sur l’accueil des touriste saisonniers », informe Ariane Lauzon, chef de produit, marketing et communications au Sommet de Saint-Sauveur.
Nouvelle attraction
« On n’a pas encore fait de campagne de promotion, mais le Parc F.U.N. accueille une nouvelle attraction », continue-t-elle. Pour les journées qui ne permettent pas d’enfiler un maillot pour profiter des attractions nautiques, il sera possible de s’élancer en tapis depuis un flanc de montagne.
« La construction de notre nouvelle infrastructure est encore en cours. On compte l’ouvrir au grand public d’ici juillet 2022. Les amateurs pourront faire des glissades sèches », renchérie-t-elle. D’après les organisateurs, le dénivelé devrait être intéressant.
« On est une entreprise 100 % rattachée aux intempéries. Si le temps se gâte, personne ne voudra se dévêtir pour accéder aux jeux d’eau. Notre parc d’attraction, le Parc F.U.N. propose des activés en extérieur et qui peuvent se pratiquer si le soleil est recouvert par les nuages. C’est important pour nous d’avoir cette ambivalence-là », soutient Ariane Lauzon.
Large panel d’activités
« Pendant la pandémie, on a tenu à respecter les règles sanitaires. Honnêtement, ça n’a pas été une mauvaise période pour le parc. Les habitants de la région redécouvraient les commerces près de chez eux. Ils allaient moins aux États-Unis pour passer leurs vacances. Certes les jauges étaient plus restrictives, mais les files d’attente étaient moins longues et les clients pouvaient plus facilement accéder aux attractions », affirme Mme Lauzon. Cette année, l’entente des parcs aquatiques du Québec s’est mise d’accord pour atténuer les restrictions liées à la COVID-19.
La pénurie d’emploi affecte une partie des commerces de la MRC des Pays-D’en-Haut. « Notre équipe de sauveteurs nageurs sera au rendez-vous. On a vraiment créé des liens avec eux, et entre eux aussi. C’est une petite famille. À ce niveau-là on n’est pas réellement touché. Les emplois de restauration au sein du parc sont, encore pour beaucoup, à pourvoir », confie la communicante.